Le Signe ou La Révélation d'Arès, son origine

Du 15 janvier au 13 avril 1974, à Arès en Gironde, Jésus apparaît quarante fois et délivre un message. Du 2 octobre au 22 novembre 1977, le Créateur se manifeste cinq fois dans une conflagration surnaturelle impressionnante.

Portrait stylisé de Jésus

 

À Arès en Gironde (France), du 15 janvier au 13 avril 1974, une nuit sur deux à peu près, Jésus, bien ressuscité en chair et en os, apparaît et parle quarante fois à Michel Potay, dit Frère Michel depuis lors. Cette révélation est appelée tout naturellement L’Évangile Donné à Arès par le témoin, car Jésus en est le messager et son enseignement poursuit celui des évangiles de Matthieu, Marc et Luc.

Le Créateur se manifeste cinq fois à son tour du 2 octobre au 22 novembre 1977 dans une chapelle voisine de la maison où apparut Jésus en 1974. Ces visites du Créateur ou théophanies se produisent dans une impressionnante conflagration surnaturelle au milieu de laquelle Frère Michel écoute et note ce que lui dicte le Père. Le témoin nommera ce message Le Livre en souvenir de ce que le Créateur lui dit : « Tu ouvres le bon Livre enfin » (i/11).

Le Livre confirme et enrichit L’Évangile Donné à Arès : la solution au mal sur terre se trouve dans le cœur de chacun, que l’on soit croyant ou incroyant, et non dans les dogmes et les lois de masse. L’homme peut se passer progressivement des systèmes religieux et politiques pour librement changer en bien (30/11) et, par suite, changer le monde (28/7).

 

Le Signe ou la Révélation d’Arès regroupe L’Évangile Donné à Arès et Le Livre, ainsi que des préfaces, récits, témoignages, annotations ajoutés par le témoin pour aider à comprendre l’événement et cette Parole (Livre disponible en librairies ou chez l’éditeur. Voir : Où la trouver ?).


 

Aux croyants, l’événement surnaturel d’Arès indique que le Créateur et son messager Jésus -Jésus n’est pas Dieu (32/1) – sont toujours au travail et ne considèrent pas du tout que « la révélation soit close avec la Bible et le Coran », et ne se lassent pas de rectifier et de rappeler la vérité qui n’est pas celle enseignée par la religion.

Aux incroyants, qui mettent l’événement d’Arès sur le compte d’hallucinations géniales, la pensée du frère Michel offre des solutions au mal moral et social auxquelles ils ne croient pas, mais qui les fait réfléchir.