Les Pèlerins d'Arès I Secte ou religion ?

Les Pèlerins d’Arès sont d’honnêtes et respectables croyants. La Révélation d’Arès ne fonde aucune secte ni aucune religion mais un mouvement prophétique : une « anarkhia de pénitents » fonctionnant sans chef, sans lois ni hiérarchie.

Les Pèlerins d’Arès : controverses et désinformations

Depuis sa naissance, le mouvement des Pèlerins d’Arès fait l’objet d’allégations non argumentées, de rumeurs partiales et calomnieuses. C’est le lot de tout mouvement qui vient bouleverser l’ordre établi. Pour autant, le désaccord naturel et compréhensible de nos détracteurs ne doit pas les exempter de respect à notre égard et l’amour évangélique que nous leur portons ne nous dispense pas d’un clair et ferme démenti.

Les Pèlerins d’Arès et la Révélation d’Arès ne forment ni une nouvelle secte ni une nouvelle religion

Le mouvement spirituel des Pèlerins d’Arès qui se forme spontanément depuis 1974 ne constitue pas une nouvelle religion, encore moins une secte ou un parti, mais un courant de Vie spirituelle libre (Rév. d’Arès 24/5) en perpétuelle évolution. Il tire son inspiration de La Révélation d’Arès, Parole de Dieu revenu parler à l’humanité à Arès en 1974 et 1977. Michel Potay, appelé couramment « Frère Michel », témoin de La Révélation d’Arès.

La Révélation d’Arès s’adresse à toute l’humanité. Elle propose une solution simple pour vaincre le mal. Non pas en fondant une nouvelle religion (ce que Dieu n’a jamais souhaité) mais, au contraire, en proposant à l’Homme de se libérer pacifiquement et progressivement de tous les systèmes qui asservissent l’individu au nom de la masse, quels qu’ils soient : sectaires, religieux, culturels, politiques ou médiatiques. Comment ? Par la restauration de la vertu (action appelée « pénitence » par Dieu dans La Révélation d’Arès (16/17)) dans un nombre suffisants d’hommes et de femmes, qui, dans des générations, deviendront un collectif capable d’emmener toute l’humanité sur une nouvelle dynamique de bonheur.

Le Pèlerin d’Arès : un croyant libre areligieux et apolitique

Est Pèlerin d’Arès celui qui se reconnait dans ce message et décide par lui-même, librement et sans l’assentiment de quiconque, en accord avec ses propres consciences et sensibilités, de s’engager dans la voie proposée par La Révélation d’Arès pour changer le monde (Rév. d’Arès 28/7) : la pénitence et la recherche de pénitents. L’ensemble des Pèlerins d’Arès qui décident en outre de suivre l’enseignement de son témoin Michel Potay forme le « petit-reste » (Rév d’Arès 24/1, 26/1).
Un Pèlerin d’Arès ne se revendique d’aucune religion ni d’aucune politique. Comme le rappelle souvent Michel Potay, non le chef , mais l’aîné des Pèlerins d’Arès : « vous pouvez être athée, catholique, protestant, musulman, juif, bouddhiste, etc et être Pèlerin d’Arès. Ce qui caractérise un Pèlerin d’Arès ? Il s’efforce de pratiquer l’amour, le pardon, la paix, l’intelligence spirituelle et il essaye de se libérer de tous préjugés. »
Quiconque est absolument libre à tout moment de rejoindre les Pèlerins d’Arès ou bien de s’en éloigner. Il existe des locaux d’accueil et d’information dans la plupart des grandes villes de France et en Suisse.

Les Pèlerins d’Arès : une « anarkhia de pénitents » sans chef ni structure

Les Pèlerins d’Arès se rassemblent localement en « assemblées » (Rév. d’Arès 16/4) dont les actions pacifiques d’information et de rassemblement sont uniquement guidées par l’amour du prochain et l’intelligence du cœur. L’ensemble informel de ces assemblées locales et de tous les hommes ou femmes, connues ou anonymes, qui se reconnaissent dans ce mouvement forme une « Assemblée de croyants libres » ou une « anarkhia de pénitents », expression dans laquelle « anarkhia » désigne une anarchie pacifique et raisonnée, sans violence.

Elle fonctionne sans chef, sans hiérarchie, sans dogme, sans adhésion, sans structure, sans règlement intérieur. Elle ne constitue pas une organisation mais un organisme vivant où se développent et se complètent les personnalités, originalités, compétences et talents les plus variés.
Par cet aspect fondamental elle se différencie totalement des religions. Après plus de 40 ans d’existence, nous avons aujourd’hui la preuve qu’une fraternité de consciences libres et pénitentes, fonctionnant sans hiérarchie, peut exister dans la durée.

La vie des Pèlerins d’Arès : libre, pragmatique et ancrée dans le monde réel

Les pèlerins d’Arès vivent bien ancrés dans le monde réel. Ils ne sont ni fermés ni sectaires. Leur foi ouverte et non exclusive respecte toutes les formes de croyances, de philosophies et d’athéismes. Ils ne vivent pas en communautés isolées du monde, mais bien dans la société, car ils estiment que personne ne peux contribuer à l’évolution du monde sans y vivre.

Un Pèlerin d’Arès a la même vie quotidienne que beaucoup d’hommes et de femmes ordinaires, avec ses soucis et ses joies au travail ou dans la famille. En revanche, il tente par son évolution personnelle d’apporter chaque jour sa contribution au changement du monde en Bien.
Un Pèlerin d’Arès ne juge personne et il ne se prétend pas supérieur aux autres et encore moins sauvé par sa seule foi. Mais il croit dans les résultats bénéfiques pour le monde de se créer bon (amour, pardon, non-jugement, etc) tout en chassant le mal (haine, violence, mensonge, etc.) au fond de soi. Cette action sur soi, Dieu l’appelle « pénitence » (Rév. d’Arès 8/6, 16/17).

Les Pèlerins d’Arès se sont donnés pour objectif de vie de restaurer la vie spirituelle dans le monde et de rassembler toutes celles et ceux qui veulent faire de même, les épis murs (Rév. d’Arès 13/7) dont le petit-reste doit faire la moisson (Rév. d’Arès 13/7). C’est ainsi qu’on peut les croiser dans les rues des grandes villes pour informer le public et rechercher les quelques rares personnes sensibles à ce sublime appel.

La commission parlementaire et la Miviludes.

On a parfois accusé le mouvement des Pèlerins d’Arès d’être une secte, qui aurait été de plus classée dangereuse par la commission parlementaire de 1996. C’est faux. C’est une association, parmi les dizaines qu’on créées les Pèlerins d’Arès en France et dans le monde, appelée “L’Œil s’Ouvre”, qui a été signalée, au sein d’un bric à brac de mouvements en tout genre, comme mouvement sectaire de type « Apocalyptique – guérisseur » (http://www.assemblee-nationale.fr/rap-enq/r2468.asp). Toute personne ayant bien compris le fond du message de La Révélation d’Arès perçoit l’absurdité d’un tel classement. En effet, les Pèlerins d’Arès sont des croyants réalistes qui espèrent que le monde va se bonifier sans passer par une voie mystique.

La Miviludes (Mission Interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les Dérives Sectaires) a retiré de son catalogue depuis des années La Révélation d’Arès et les Pèlerins d’Arès. On peut s’en assurer en effectuant une recherche sur leur site via les mots-clés « Pèlerins d’Arès » ou « Révélation d’Arès » : http://www.derives-sectes.gouv.fr/search/node.
Actuellement, l’Etat ne considère pas les Pèlerins d’Arès comme une secte.

Les Pèlerins d’Arès et l’argent : la « demi-dîme ».

Dans la Révélation d’Arès il est écrit : « celui qui recevra cent valeurs t’en remettra cinq » (Rév. d’Arès 34/6). Dieu instaure ici la « demi-dîme » pour aider matériellement Michel Potay dans sa difficile mission universelle d’enseignement et de rassemblement des Pèlerins d’Arès. Tout comme le Créateur laisse l’Homme libre de sa foi et de sa confiance, Frère Michel laisse ses frères libres de leur estime pour sa mission, qui ne fonctionne que par leurs dons. La demi-dîme n’est donc pas une contribution financière obligatoire et ne conditionne pas l’appartenance au mouvement. Si elle est librement consentie, elle peut l’être aussi en temps donné, biens ou services.
La plupart des associations et assemblées locales de Pèlerins d’Arès fonctionnent aussi sur des contributions libres pour financer les besoins de leurs activités (loyers et charges des lieux d’accueil, affiches, fournitures diverses, etc) et mener à bien la mission qu’ils se sont donnés.


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